woensdag 4 juni 2008

Bruxelles - Incendie d'une école

BRUXELLES Un incendie d'origine criminelle a été commis vendredi soir vers 22h15 dans une école, l'Institut Marie Immaculée-Montjoie, située au 93 de l'avenue Monjoie à Uccle, a-t-on appris samedi auprès du parquet de Bruxelles.Un couple de passants a aperçu vendredi en soirée des jeunes âgés d'environ 16 à 18 ans qui semblaient prendre la fuite.A l'arrivée des pompiers qui avaient été appelés pour une fumée suspecte dans le bâtiment, le hall d'entrée était en feu. Les pompiers ont dû forcer la porte d'entrée de l'établissement. Au bout de quelques minutes, les pompiers étaient maîtres du feu qui a été éteint au moyen d'une lance à haute pression. Les dégâts seraient limités au hall d'entrée. Le laboratoire de la police fédérale s'est rendu sur place. Un seul foyer a été trouvé sur le lieu de l'incendie. Un vol commis précédemment dans cette école pourrait être lié à cet incendie.

31.05.2008
http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/209906/incendie-d-origine-criminelle-dans-une-ecole-a-uccle.html

Un informateur de la police liquidé à Anderlecht

L’homme qui a été tué samedi soir à Anderlecht par un groupe de jeunes était depuis de longues années l’un des plus importants informateurs de la zone de police Bruxelles-Ixelles, selon le journal " De Morgen " de ce mercredi.
Selon sa famille, Roy Jabbour savait qu’il n’en avait plus pour longtemps et il a annoncé vendredi à son fils qu’il ne serait probablement plus là à la fin du week-end.
Au départ, on a soupçonné que l’assassinat, qui a eu lieu dans les environs de la place Lemmens, était lié aux émeutes entre hooligans et jeunes allochtones à Anderlecht. Selon des sources proches de l’enquête, les émeutes auraient en réalité " servi de couverture à une liquidation ".
L’homme était de nationalité libanaise. Il y a quelques années, il a aidé la police à démanteler certaines bandes liées à la drogue, mais était depuis quelque temps sur une liste noire. Il a été soupçonné d’avoir mis en scène des transactions de drogue avec la police et de s’être ainsi débarrassé de dealers concurrents. L’homme ne manquait pas d’ennemis.

http://www.lacapitale.be/la_une/details/2008/06/04/article_un_informateur_de_la_police.shtml

Anderlecht - Nouvelle affrontement

ANDERLECHT C’est un ouf de soulagement qu’avaient poussé ce samedi tant les commerçants, les habitants, les policiers que les autorités communales d’Anderlecht. Les affrontements sanglants et violents annoncés par certaines rumeurs n’ont pas eu lieu ces vendredi et samedi. Le calme semblait de retour. La vigilance restait toutefois de mise dans le quartier Saint-Guidon d’Anderlecht, aux abords du parc Astrid. Mais dès le départ des forces de l’ordre samedi soir, une cinquantaine de jeunes se seraient regroupés et auraient repris les affrontements, utilisant même des armes à feu. C’est ainsi qu’on comptait au moins un blessé par arme, nécessitant son transport à l’hôpital en ambulances. Plus tôt dans la journée, la police de la zone Midi s’est une nouvelle fois vu appuyer par la présence de policiers issus d’autres zones ainsi que de la police fédérale. Un renfort qui devrait être maintenu jusque mardi au moins. Vendredi soir, si aucun incident majeur n’a été déploré par les autorités communales, une centaine d’arrestations administratives ont toutefois été à comptabiliser, mais simplement à titre préventif.Quatre mineurs ont été mis à la disposition du parquet de Bruxelles. Le parquet de Bruxelles a requis un placement en Institution publique de Protection de la Jeunesse pour les quatre jeunes qui n’étaient pas connus de la Justice. D’eux d’entre eux, dont l’un est domicilié à Berchem-Sainte-Agathe, étaient porteurs d’un couteau à cran d’arrêt et un troisième d’un long bâton, considéré comme une arme prohibée. Le quatrième était en possession de matériel pouvant servir à la confection d’explosifs, type cocktails Molotov.

1/06/2008

http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/209925/anderlecht-encore-sous-haute-tension.html

Opstand in gevangenis van Verviers

BRUXELLES - Trente détenus de la prison de Verviers se sont rebellés et ont refusé de regagner leur cellule vendredi soir, a indiqué La Première sur ses ondes samedi matin. La rébellion d'un détenu à la suite d'une sanction disciplinaire est à l'origine des premiers incidents qui ont éclaté vers 20h30.Vendredi, la direction de l'établissement pénitentiaire verviétois a infligé une sanction à un détenu qui s'était mal comporté. "Ce détenu devait être soumis à un régime cellulaire strict", a précisé un délégué de la CGSP de la prison de Verviers sur la radio publique. "A 20h30, quand il devait descendre sur une aile réservée aux prisonniers punis, il a refusé sa sanction en menaçant tout le monde avant de tout fracasser. Dans sa rébellion, il a entraîné toute son aile, une trentaine d'autres détenus, dans une émeute particulièrement violente. La zone où les incidents se sont produits est complètement sinistrée. En treize années de carrière dans cette prison, je n'avais encore jamais vu cela".La police est venue en renfort et une unité anti-émeutes est intervenue sur place. La situation est rentrée dans l'ordre samedi matin vers 3h30. On ne déplore aucun blessé mais les dégâts matériels sont assez importants.Depuis ce samedi matin, les gardiens de la prison de Verviers assurent un service minimum afin de pouvoir intervenir en cas de nouvel incident.

31.05.2008

http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/209896/emeute-a-la-prison-de-verviers.html